Préparation et survivalisme

Et voilà c'est fait, j'ai obtenu mon permis de PPA après plus de deux mois d'attente.

Raison de ce retard dans le traitement: une question ambigüe dans le formulaire et le lock-out des Postes.

Mais quelle joie lors de la réception de mon permis! Joie qui s'est prolongée quelques jours plus tard par l'acquisition de ceci:

Un Simonov SKS modèle 1945, produit en 1952 par l'URSS. Cette arme est de type semi-automatique avec magasin 5 balles (le modèle original compte 10 balles mais la loi canadienne n'en permet que 5) avec baïonette intégrée, crosse en bois, mécanisme de visée comme celui du AK.

Son calibre 7,62x39 est un calibre militaire d'origine soviétique. Les balles sont plus courtes que les 7,62 NATO que j'ai connu mais elles semblent bien plus remplies de poudre.

Les munitions militaires de surplus sont amplement disponibles et très abordables mais comme elles sont FMJ (full metal jacket) il est interdit de les utiliser pour la chasse, mon but p…

L'idéal (et le rêve) en situation de désastre c'est de maintenir le même niveau de vie, les mêmes habitudes de vie et les mêmes habitudes alimentaires.
Nous savons que la réalité sera différente.
Tous les preppers savent qu'on doit préparer des réserves alimentaires, que celles-ci doivent s'approcher le plus possible de notre régime normal et que nous devons aussi nous prévoir quelques gâteries.
Maintenant, qu'en coûtera-t-il pour maintenir la normalité ou même simplement s'en approcher?
En effet, avoir de la nourriture brute, i.e. non apprêtée d'avance, c'est une chose. L'avoir apprêtée et cuite dans votre assiette, c'en est une autre.
Il faut prendre en compte la dépense énergétique pour transformer votre nourriture brute en plats cuisinés. Essentiellement, on parle ici d'une source de chaleur pour la cuisson.
Des plats qui demandent une longue cuisson demandent plus d'énergie. Si vous chauffez au poêle à bois, ce n'est pas un pr…